Le grand public ne plébiscite pas la bêtise culpabilisatrice de la culture woke. Il se presse en revanche au musée pour admirer les chefs-d’œuvre de notre histoire de l’art. Il ne peut qu’en sortir grandi.
Nous sommes de plus en plus nombreux à aller au musée voir des expositions. Les nostalgiques de ces lieux autrefois désertés par les foules ont des souvenirs de chefs-d’œuvre rencontrés dans des salles quasi conventuelles, mal éclairées ou, au contraire, baignées de la lumière d’un ciel pur, coupées de l’agitation du monde et de l’empressement du quotidien. Les musées sont passés en peu de temps des couvents aux cathédrales, du recueillement solitaire au pèlerinage de masse, et la demande du public ne
